Comment fonctionne un piège photographique ?
À notre ère, il n’est plus concevable d’utiliser des accessoires et des équipements rudimentaires pour aller à la chasse. Cela est encore moins tolérable lorsque vous êtes un reporteur et que vous ambitionnez de faire un documentaire sur la faune sauvage. Le plus approprié dans ces deux circonstances est d’utiliser des accessoires qui vous épargnent des nuits blanches à surveiller tel ou tel animal. Il vous incombe donc d’acquérir un piège photographique ou une caméra de chasse. Ainsi, vous avez la certitude d’obtenir des photos et des vidéos de qualité. Néanmoins, comment fonctionne un piège photographique ? La question étant crucial, nous avons essayé d’y répondre dans les grandes lignes qui suivent
Détection de mouvement
À l’opposé d’un appareil photographique classique, la caméra espion pour la chasse est dotée d’un détecteur de mouvement. Ainsi, avant que la prise d’une photo n’est lieu, il faut qu’il y ait une variation thermique dans l’angle où le capteur est orienté. Quand une variation est constatée, la prise d’une photo où d’une vidéo est automatique. Ce qui vous permet de récupérer au lever du jour tous les enregistrements fait dans la nuit. De plus, s’il arrivait que la batterie de la caméra soit déchargée, les enregistrements sont stockés dans la carte SD.
La vitesse de déclenchement, le temps de récupération et l’objectif
Bien vrai, le fonctionnement d’un piège photographique se fait de manière automatique et ne requiert aucune présence humaine. Toutefois, pour obtenir des images claires et nettes, trois fonctionnalités de la caméra entrent en jeu. La toute première est la vitesse de déclenchement qui représente le temps entre la détection d’un mouvement et la prise de photos. Ce temps est généralement compris entre 0,5 s et 1s, après cela, on retrouve le temps de récupération. Comme son nom l’indique, c’est le nombre de secondes ou de minutes que la caméra prend avant une nouvelle prise de photos. L’objectif quant à lui constitue la distance focale ou encore le champ de vision d’un piège photographique.